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La Grande-Bretagne établit des principes pour réglementer l’intelligence artificielle générative


La Grande-Bretagne a été placée lundi des principes Il vise à empêcher que les modèles d’IA soient dominés par un groupe d’entreprises technologiques aux dépens des consommateurs et des entreprises, en mettant l’accent sur la nécessité de responsabilité et de transparence.

L’organisme britannique de surveillance antitrust a lancé un projet visant à approfondir son examen de cette technologie en développement rapide, alors que l’Autorité de la concurrence et des marchés tente de contrôler certaines des conséquences négatives potentielles de l’intelligence artificielle sans étouffer l’innovation, comme d’autres autorités dans le monde.

L’Autorité de la concurrence et des marchés a défini sept principes pour réglementer les systèmes d’intelligence artificielle formés sur de larges ensembles de données, qui peuvent être adaptés à diverses tâches.

Les sept principes visent à réglementer les modèles fondamentaux, tels que ChatGPT, en responsabilisant les développeurs, en empêchant les grandes entreprises technologiques de restreindre la technologie sur leurs plates-formes et en mettant fin aux comportements anticoncurrentiels.

Les sept principes de l’IA de l’Autorité de la concurrence et des marchés :

Sujets liés à ce que vous lisez actuellement :

  1. Responsabilité de la part de ceux qui développent les systèmes.
  2. Accès continu aux entrées clés sans restrictions.
  3. Diversification durable des modèles économiques.
  4. Un choix suffisant pour les entreprises.
  5. Flexibilité pour basculer entre les modèles fondamentaux.
  6. Transparence sur les risques et les restrictions.
  7. Une utilisation équitable qui n’entre pas en conflit avec la concurrence.

Sarah Cardell, directrice générale de l’Autorité de la concurrence et des marchés, a déclaré : « Il existe un risque que l’utilisation de cette technologie se développe d’une manière qui sape la confiance des consommateurs ou soit dominée par un petit nombre d’acteurs qui exercent un pouvoir de marché qui empêche “Nous avons lancé un vaste programme pour garantir que les modèles d’entreprise sont développés et utilisés de manière à promouvoir la concurrence et à protéger les consommateurs.”

Les principes proposés par l’Autorité de la concurrence et des marchés renforcent son approche en matière d’intelligence artificielle lorsqu’elle assumera de nouveaux pouvoirs dans les mois à venir pour superviser les marchés numériques. Ces propositions interviennent six semaines avant que la Grande-Bretagne n’accueille un sommet mondial sur la sécurité de l’intelligence artificielle.

L’Autorité de la concurrence et des marchés sollicite désormais l’avis des principaux développeurs d’IA, tels que Google, Meta, Microsoft, NVIDIA, OpenAI et Anthropic, ainsi que des gouvernements, des universitaires et d’autres régulateurs.

Les principes proposés couvrent également l’accès aux intrants clés, la diversité des modèles économiques, y compris ouverts et fermés, et la flexibilité des entreprises à utiliser plusieurs modèles.

En mars, la Grande-Bretagne a choisi de partager la responsabilité réglementaire en matière d’intelligence artificielle entre l’Autorité de la concurrence et des marchés et d’autres organismes chargés de superviser les droits de l’homme, la santé et la sécurité, plutôt que de créer un nouvel organisme de réglementation.

Les États-Unis examinent d’éventuelles règles pour réglementer l’intelligence artificielle et le secteur numérique, et les ministres des principales économies du Groupe des Sept ont convenu en avril d’adopter des réglementations fondées sur les risques qui préserveraient également l’environnement ouvert.

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